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vendredi 7 mars 2014

La tête - presque dans la lumière - à St-Joachim


La tête - presque dans la lumière - à St-Joachim

Hé oui presque ! les éclaircies sont maintenant de très courte durée, le ciel se couvre d’une vilaine couche nuageuse. Le soleil n’est pas resté bien longtemps, la lumière, la bonne lumière celle qui révèle le relief et magnifie les couleurs, cette lumière-ci s’est estompée.

Donc petit challenge pour moi : s’arranger de cette grisaille avec mon 50D

Il pleut...Le réglage en 400 ASA permet d’avoir assez de clarté sur les barques, au détriment du fond : le ciel est blanc, on ne distingue aucun nuage pourtant bien présents. Mais si j’avais favorisé les détails pour une netteté du ciel, alors le premier plan et les barques seraient trop sombres : nécessité d’un filtre ?

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Le ciel bas tamise la lumiére: peu de relief, l'or des roseaux est mat..

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Merci Photoshop : une variante de ce paysage aux barques.

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« Le chemin dans le paysage doit emmener le regard en balade… »

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Par chance, une éclaircie rehausse le jaune paille des roseaux, relevant ainsi le relief du paysage.Ah dilemme !  Brigitte (Lumières d’ailleurs) l’avait dit lors du stage (Vé le stage photo à Marseille)  : donner la part belle au ciel lorsqu’il est intéressant ! : mais là, l’eau est aussi intéressante, je n’ai pas pu choisir, j’ai diviser 50/50 mon cadrage entre ciel et terre…

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En couleur cette photo est n u l l e : Sous ce ciel bas et de plus à l’ombre des arbres, les couleurs sont très affadies, par contre, le N&B révèle bien les différentes teintes de gris.  Et c’est là que je regrette de ne plus utiliser mon vieil argentique AT1 : pour N&B c’eût été super…



Et joli en sépia aussi J


« Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensée politique, ça m'étonnerait qu'il passe l'hiver »

à + !

jeudi 27 février 2014

Les pieds - presque dans l'eau - à St-Joachim.

Les pieds - presque dans l'eau - à St-Joachim.

Je l’avais promis à Mr Robert : je suis arrivé la semaine dernière avec mon rayon de soleil sous le bras sur la côte atlantique (je peux faire le càcou maintenant que cela est arrivé…) et, pauvre ! le pays en a grand besoin !



La situation à St-Joachim,île de Fédrun , est limite, les eaux de la Brière se sont copieusement étalées, grignotant les jardins, léchant le bord des routes quand elles ne passent pas carrément par-dessus, en interdisant ainsi l’accès.





(Vous savez que vous  pouvez cliquer sur les photos pour mieux voir )  

Cette route d’ailleurs, où j’avais pu admirer il y a quelques années de magnifiques oiseaux est inondée,



Quel dommage ! moi qui pensais shooter quelques échasses , aigrettes et avec un peu de chance, des oies rieuses, et bien quelques canards tels que le souchet si coloré... 

Seuls un couple de colverts et son petit, ont bien voulu m'accueillir !
(mais aussi pas mal de ragondins à la recherche d'herbe verte...)



Bagages posés à La Mare Aux Oiseaux : Excellent hôtel, chambre très cosy où il manque peut-être un petit bureau pour bosser : la petite table « antique » vernissée noire est déjà prise par le pain d'épices au miel, le percolateur et la boite à thés (et je me plains…)








   
Et très excellente cuisine !! (Resto étoilé au Michelin) 
Et puis la déco ! sur le thème des oiseaux bien sûr superbe !
Je ne le recommanderais jamais assez,




















Je fais un petit tour du village : capter la lumière du soleil - dont je sais qu’il va vite disparaître - avec mon Canon 50D.





Les chaumières Briéronnes sont bien entretenues,






le soleil rehausse la clarté des murs  qui tranchent ainsi avec le chaume de leurs toits . Les jardins sont joliment entourés de barrières de bois croisés ont moins de charme en cette saison (pourrie cette année a-t-on besoin de me me répèter, ici, mais c'est vrai ça fait du bien de râler ! foutu temps ! )  

Malgré la nature environnante qui m’appelle et m’invite à mettre en pratique les leçons Photos de Brigitte, je renonce: ce sera pour un autre jour, le travail m’appelle… 


A +

lundi 13 mai 2013

Yourte ? parfum nature !


Pas d’Hôtel 5 étoiles
Ni d’Owners cabin
Pas de Gîte, ni de Chambre d’hôtes non plus.
Pas même une Guest house, non.
Ni même de Roulotte,
Dans la DakotaBox offerte (merci encore Juju !)
On avait choisi…. la Yourte !

Par quel méandre cérébral incongru, quel cheminement insolite, quelle logique, quel désir de rusticité, nous firent prendre ce choix qui nous parût, de surcroît, ju-di-cieux ?

Toujours est-il que nous voici arrivés, Aux Dolines de Longviala, assez contents - le cadre bucolique était magnifique - mais assez sceptiques, quant à la suite des évènements: pluie au programme.

La propriétaire très accueillante, nous explique le principe : ici c’est la NA TU RE ! oublié le luxe des villes, pas d’électricité, pas de toilettes, pas de coin lavabo, pire : pas de wi-fi ! Mais bon on savait déjà tout cela...

Lui ayant assuré de notre courage et notre détermination devant l’épreuve, elle nous dit que ce n’est pas la peine d’acheter du bois pour le poêle, il fait assez bon maintenant (10 € ceci dit les 3 bûches) et nous réserve une table pour ce soir : on y mangera très bien avec beaucoup de « co-yourtiers » très sympathiques. Mais le problème commun à tous était la météo. Et c’est là que les choses se compliquent.
La nuit était tombée, lorsque nous mouillions pour la nième fois nos chaussettes et bas de pantalons en allant nous coucher.
parce que, n’ayant pas la tenue adéquate du paysan des Causses, marcher dans l’herbe haute nous révèle l’impossibilité de garder bas de pantalon et chaussettes séches.
A l’intérieur de la yourte, pas question de se déchausser : pieds nus, il fait froid, et avec la pluie qui redouble d'intensité, l’eau ruisselle le long du poele sur le plancher, passant par un coté, sous le lit et s’évacuant de l’autre coté ! (c’est normal, nous assure t-on)
S’asseoir sur le lit nous donne la sensation de se mouiller les fesses: tout en fait est humide.
Au chaud sous les couettes, nous avons assez bien dormi, exceptés la pluie qui frappait la yourte et le vent qui faisait claquer un bout de toile mal ficelé. 
Mais nous garderons malgré tout un bon souvenir : 
nous n’avions pas choisi la meilleure période pour ce genre de logement
et puis quand on choisit la rusticité, ici on l’a ! 
A refaire….l’été !