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jeudi 27 février 2014

Les pieds - presque dans l'eau - à St-Joachim.

Les pieds - presque dans l'eau - à St-Joachim.

Je l’avais promis à Mr Robert : je suis arrivé la semaine dernière avec mon rayon de soleil sous le bras sur la côte atlantique (je peux faire le càcou maintenant que cela est arrivé…) et, pauvre ! le pays en a grand besoin !



La situation à St-Joachim,île de Fédrun , est limite, les eaux de la Brière se sont copieusement étalées, grignotant les jardins, léchant le bord des routes quand elles ne passent pas carrément par-dessus, en interdisant ainsi l’accès.





(Vous savez que vous  pouvez cliquer sur les photos pour mieux voir )  

Cette route d’ailleurs, où j’avais pu admirer il y a quelques années de magnifiques oiseaux est inondée,



Quel dommage ! moi qui pensais shooter quelques échasses , aigrettes et avec un peu de chance, des oies rieuses, et bien quelques canards tels que le souchet si coloré... 

Seuls un couple de colverts et son petit, ont bien voulu m'accueillir !
(mais aussi pas mal de ragondins à la recherche d'herbe verte...)



Bagages posés à La Mare Aux Oiseaux : Excellent hôtel, chambre très cosy où il manque peut-être un petit bureau pour bosser : la petite table « antique » vernissée noire est déjà prise par le pain d'épices au miel, le percolateur et la boite à thés (et je me plains…)








   
Et très excellente cuisine !! (Resto étoilé au Michelin) 
Et puis la déco ! sur le thème des oiseaux bien sûr superbe !
Je ne le recommanderais jamais assez,




















Je fais un petit tour du village : capter la lumière du soleil - dont je sais qu’il va vite disparaître - avec mon Canon 50D.





Les chaumières Briéronnes sont bien entretenues,






le soleil rehausse la clarté des murs  qui tranchent ainsi avec le chaume de leurs toits . Les jardins sont joliment entourés de barrières de bois croisés ont moins de charme en cette saison (pourrie cette année a-t-on besoin de me me répèter, ici, mais c'est vrai ça fait du bien de râler ! foutu temps ! )  

Malgré la nature environnante qui m’appelle et m’invite à mettre en pratique les leçons Photos de Brigitte, je renonce: ce sera pour un autre jour, le travail m’appelle… 


A +

mardi 25 février 2014

On the run of my trips - Tunbridge Wells Hotel.

On the run of my trips


Je n'ai pas eu le temps de dire Ouf à St Joachim et d'en pondre un billet...         mais j'y reviendrais
et me voici dans la belle et verdoyante banlieue de Londres.


De Tunbridge Wells, je ne verrai pas grand chose comme à l'accoutumée:



un bel hôtel et puis,
The good mood here reconciles me with the English people.

Or almost.

All guys now gathered around a pint of beer 


et la devinette qu'on me pose est: "Do you know the difference between the Moulin Rouge and the Cirque du Soleil ?








Je vous fais grâce de la réponse.
à +

mardi 18 février 2014

Juste un aller-retour à Dakar 2





Aller-Retour Dakar

Juste un aller-retour à Dakar 2



Et oui juste un aller-retour,

Juste un court séjour

Pas l’ombre d’une heure pour voir
Ce qu’est Dakar,


Mais par chance une excellente expo photo était installée dans L'hôtel Onomo.

Omar Victor Diop (omarviktor.com) et Antoine Tempé,(antoinetempé.com) deux photographes basés à Dakar ont été invités par le groupe Onomo International à créer une série de photos dans le décor des hôtels.

Le théme est les scénes cultes de l'âge d'or du cinéma. pour ma part j'ai bien aimé, en voici quelques unes, vous savez que vous pouvez cliquer dessus et faire défiler pour mieux voir :



















samedi 15 février 2014

Juste un Aller-Retour à Dakar





Juste un Aller-Retour à Dakar
Aller-Retour Dakar
Et oui juste un aller-retour,
 Juste un court séjour
Pas l’ombre d’une heure pour  voir
Ce qu’est Dakar.
 
Elimane et Racine m’invitent pour midi à la cantine, et c’est en fait le seul moment de pause.
Le moment aussi de connaître un plat local : le Ceebu Jen ou Tiep bou dien.  Ce plat populaire est un riz au poisson avec  des légumes tels que l’oseille, carottes, aubergines, piments et autres épices.
Celui qui m’est  servi, est une variante appelé ici « TIEBOU DIOLA » Tiébou dérivé de Ceebu ou tiep bou,  écrit ici, je pense, comme prononcé.
Et Diola,  dialecte qui est parlé notamment en Casamance.
 
 
Mais pourquoi Diola ici ? Parce que dans ce plat on y ajoute de l’huile de palme et celle-ci provient traditionnellement (normalement) de Casamance.
                                                                                                                                                            
L’huile de palme d’une belle couleur orange est à volonté, sur la table.
 
Elimane m’a commandé le plat sans huile.
 
 
« Je n’en prend jamais moi-même et tu n’apprécieras certainement pas »
 
 
 
 
Je n’ai pas osé y gouter.
 
à + !