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mardi 30 avril 2013

La taille, on progresse ! Avril 2013


Oui, on peut le dire : on a fait des progrés. Tandis que l'anné derniére chaque branche de chaque arbre nous posait une interrogation, cette année, les gestes sont plus francs. Bien que toujours à deux pour couper, l'un conseillant l'autre, les décisions sont plus claires ! et donc ça va plus vite ;))
 Juste un petit rappel pour ma pomme copier/coller du billet de l'année dernière :


D'abord, 
S'occuper de la forme: rabaisser les branches trop hautes, éliminer les trop basses, raccourcir les trop longues...

Puis, 
Eliminer les gourmands, ces branches toutes droites qui poussent sur les charpentières.

Ensuite seulement, 
La taille d'éclaircie: aérer le feuillage pour favoriser le passage de l'air et donc la pollinisation. Mais attention !! pas question d'appliquer le vieux dicton "il faut qu'une hirondelle passe dans l'olivier sans toucher les branches" !!! vous perdriez beaucoup trop de fruits ! En fait ce dicton s'appliquait il y a bien longtemps, vous pouvez le faire si vous voulez faire faire à votre Olivier l'alternance (une année sur deux).

Avant / Après nouvel exemples : forme, gourmand, éclaircie.






Content Gaëtan !



vendredi 26 avril 2013

Bruxelles la plus belle, et la pluvieuse.

Oui, belle, elle l'est, mais vieuse elle l'est encore plus.  Non, ce n'est pas la douche, juste une petit crachin qui vous fait dire "parapluie , pas la peine" et puis vous vous retrouvez 15 mn plus tard la tête déjà mouillée comme un canard...

C'est donc en me dépêchant, par manque de temps surtout, que je découvre quelques belles rues de Bruxelles.


Passage éclair par le Warande Park, quasi désert par ce temps ! preuve qu'il pleut beaucoup à Bruxelles: les statues se couvrent d'écailles...













Dans les rues de la vieille ville, les vitrines happent mes regards.


Promesse faite d'y revenir un jour !
Faire la queue pour une gaufre,
Boire directement à la fontaine de chocolat chez Léonidas,
Défier une Mort Subite
Et faire ensuite un duo avec le manneken pis !


Mais  en attendant je file,






Les vitrines happent mes regards (ouep, j'aime bien l'expression) puis l’une m’arrête : Le Temps du Sucre, Chocolatier Valentino : Ah mais les voilà ces cuberdons de Melusine.





Assis avec son chien, Charles Buls, éminent bourgmestre de la ville, se laisse polir la moustache ! (porte-bonheur ?)





Sur la superbe Grand-Place, le Beffroi en impose ! bien qu'il ne soit pas véritablement au milieu malgré les contraintes de symétrie de l'époque de construction, la partie de gauche et celle de droite ne sont pas vraiment identiques. Une vieille légende veut que l'architecte qui a conçu le bâtiment s'est suicidé en se jetant du sommet du beffroi après s'être rendu compte de cette « erreur » architecturale. 


En fait les deux parties n'ont pas été construites ensemble. C'est Wiki, bien sur qui me l'a dit, ça ne saute pas aux yeux.




Un temps à ne pas mettre le nez dehors ? 
On vous l’écrit. Toute vérité est négociable. 
D'ailleurs la foule se presse dans les rues.
















à + !

lundi 22 avril 2013

Des blancs dans mon agenda. La Déf 1


Il y a des blancs dans l’agenda
Qui me scotchent dans la tour.
Et empêchent tout envol.
Non pas que
La crise économique m’ait coupé les ailes, 
Mais il y a des mois avec des blancs dans l’agenda des déplacements. Crise ou pas, c'est comme ça.

Certes. 



‘Certes’ comme dirait l’une à Marseille, 
signe d’une bienveillante reconnaissance 
de la vérité inéluctable de vos dires. 
mais avec cet imperceptible mouvement de 
coté de la tête qui, comme un soupçon, 
cependant, vous laisse à penser que 
l’idée exprimée mérite d’être approfondie 
car si évidente puisse-t-elle paraître, 
elle n’en suppose pas moins un aboutissement.
 bref, ce petit geste pour vous dire: 

'Oui. Certes. C’est bien beau tout ça. Mais bon ?'

Et bien
Blancs qu’il faut bien combler en restant dans la tour, au bureau.
Bureau dit « en open-space »
Open-space répartis en Desks

Certes...



J'y arrive.
  Desks occupés par des personnes bien sympathiques,
Mais que je connais qu’en pointillé et vice-versa
Vu le temps passé au dehors en « missions »
Rien d’emballant dans les blancs.
Certes...



J'y viens.
Et si l’activité est assez soutenue,
Ce n’est ni la Tour Montparnasse Infernale
Ni même Piége de cristal…
Rien d’emballant dans les blancs, donc.
Certes...


ça y est.

Ce mois dernier était un de ceux-là, avec un blanc. 
Et ayant fait le vide sur mon bureau, au nième étage de ma tour, le regard se perd dans la contemplation des tours avoisinantes. L'araignée rouge d'Alexander Calder au loin m'interpelle;  Pensée évidente : je ne connais même pas la moitié des œuvres exposées, disséminées entre toutes ces tours et bâtiments de La Défense. Je me suis promis donc d’aller à la chasse aux oeuvres dans ce musée à ciel ouvert et vous les faire partager.

Histoire de combler mes blancs.

A commencer par la première de toutes : celle qui a donné son nom au quartier: La Défense de Paris. Son style est en parfait décalage avec la modernité du lieu !








La Défense de Paris est une sculpture en bronze de Louis-Ernest Barrias, inauguré en le 12 octobre 1883, à la gloire des soldats ayant défendu la ville pendant la guerre de 1870. Elle est située sur la place de la Défense, donc, érigée sur son emplacement actuel, situé au coeur du quartier d’affaires, qui était alors au centre d’une colline champêtre : la butte Chantecoq.
Placée sur une colonne de  m., on peut la voit mieux lorsqu'on est sur le parvis en hauteur, étant au niveau de la sculture. Elle représente un groupe allergorique composé d'une femme symbolisant la ville de paris au pied duquel repose un soldat.
Au prochain blanc, le prochain texte sera plus court. Certes !