Un tableau.
Hommage.
Hommage.
Comme le temps passe vite.
Orphée
La femelle de l’alcyon, L’Amour, les volantes Sirènes, Savent de mortelles chansons Dangereuses et inhumaines. N’oyez pas ces oiseaux maudits, Mais les Anges du paradis.
Raoul Dufy. Les Sirènes. |
Les Sirènes
Sachè-je d’où provient, Sirènes, votre ennui Quand vous vous lamentez, au large, dans la nuit ? Mer, je suis comme toi, plein de voix machinées Et mes vaisseaux chantants se nomment les années. G.Appolinaire