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mercredi 10 décembre 2014

Hopper Athènes - nuit décalée.


Travail en décalé oblige grasse matinée.
                        Et à l'hotel
Plus de p'tit dèj
Il est bientôt midi.






Le ventre gemit sa vacuité
Alors allons chez Hopper,
juste déguster un café frappé
















et une part
de tarte aux épinards.














L'endroit est convivial, le service sympathique.
Et le décor plait à mes yeux fatigués.
A + !

vendredi 20 décembre 2013

Le Parlement ne participe pas à la féte. Athènes.









Dernier Hop ! Avant la pause de fin d’année :

Athènes.

Sur la place Syntagma, 
multicolore,
les Athéniens éblouis
oublient
un batiment qui les toise,
austère.

Le Parlement ne participe pas à la féte.




  






. Joyeux Noël à tous !

mardi 2 juillet 2013

Mon ventre parle grec: Φαγοποτείον !




En descendant du Lycabette, dans les rues du quartier de Kolonaki, il y a un petit restaurant, où, un (très) beau jour, passant devant par hasard, mon ventre vide me poussa à entrer.



Dés le premier pas le décor est planté: on choisit son menu à vue : à droite, les vitrines réchauffent d'immenses plats qui se disputent la place, rivalisent de promesses gustatives, me narguent la papille ; moussaka, petits légumes farcis, poulet en sauce, cotelettes d'agneau, slouvaki, dolmades, aubergines, féves et autres accompagnements mitonnés, etc.
Vite, choisissons : This. And this...with this...no. Stop... je ne mangerais pas tout...
Plus loin, à gauche : Greek salad ? Yes ! Tzaziki ? Why not ?

Le lieu est simple et la cuisine est faite maison, il s'appelle le Fagopotion (Φαγοποτείον), alors de la bouche de Dimitris, ça donne quelque chose comme ça:
« farropotillonn »
ce qui signifie quelque chose comme le «lieu pour le manger-et-boire»


Passée l'épreuve du choix, (frustration de laisser tant de bonnes choses derriére soi), je m'assied.
Aimable conversation avec ma voisine de droite, une personne très urbaine, me parle dans un français assez particulier, celui de la Nouvelle Orléans, il s'agit de Mme Jeanne-Michèle Charbonnet, Soprano. Wagner et son Hollandais volant l'ont conviée à l'Opéra. Dimitris (oui, c'est le serveur, je ne vous l'avais pas précisé), admirateur de Madame, m'offre un petit verre de vin blanc...


Ah ! Les plats arrivent !


La suite serait délectable mais aussi extrémement frustrante pour vous et je vous en éviterais donc le récit. 
Mais retenez cette bonne adresse:



Ah oui ! Juste une chose ! Surtout ne manquez pas les poires confites, cannelle et pignes: un bonheur !


mardi 25 juin 2013

Athènes de haut


Athènes, 


Pouf pouf ! on souffle ! : Grimpette d’escaliers ombragés et fleuris,
et de raidillons proprets.


C'est vrai, la crise économique aidant, 
le trafic a considérablement baissé, 
mais comme toute capitale, cela reste la cause principale de la pollution sonore et atmosphérique. 




Alors ; comme chaque fois que je passe ici, j'ai deux habitudes, devenues réflexes, et mon premier est de prendre... de la hauteur.


A l'assaut de la colline du Lycabette !

Arrêt à la station Evangelismo,
Direction le quartier de Kolonaki 
Pouf pouf ! Grimpette d’escaliers ombragés et fleuris,


et de raidillons proprets entre les résidence de ce quartier coté.


 

Puis on entre dans le parc au pied de la colline


Par un sentier bordé principalement de pins et d'agaves.




Pouf pouf ! La montée est assez raide : petit arrêt ;


Ah que j'aime ce banc avec sa vue imprenable !!
(Un clic sur les photos permet de mieux les apprécier)


     

D'est en ouest, le panorama est unique : Tout Athènes s'étend là, à nos pieds.
Le Parthénon, la Méditerranée derrière, l'Olympéion à gauche.








La montée continue, assez raide -Pouf pouf - mais courte :


On atteint rapidement la terrasse et la chapelle St George.

 



Halte à l'ombre de l'unique olivier : essoufflé, on récupère,
la ville s'étale sous nos yeux.




La chapelle dédiée à St Georges, trés bien entretenue, offre en plus de la fraicheur, de trés belles peintures naïves de la Bible.











(Un clic sur les photos permet de mieux les apprécier)



St Georges

Cette promenade, je vous l'assure: un pure bonheur pour le regard !







lundi 28 janvier 2013

Mon ventre vous parle... et guide mes pas.

Thessaloniki, premier retour de l'année.

C'est l'estomac dans les talons que je remontais la Place Aristote (voir le début ici) jusqu'à tourner à droite, rue Vatikiotou, parce que, quand c'est l'estomac qui guide mes pas, ici  à Thessalonique, on va chez "Δια Ταυτα" :))  (Dites: "Dia Tauta" : En conclusion)










 
Chez "Δια Ταυτα"  la musique est un peu trop forte, les sourires sont rares, l'accueil est du style "rabatteur de touristes", l'accès pas très esthétique et le sobre décor est usé. Oui, ça commence pas terrible cet article...
A leur décharge, il faut avouer que le personnel n'en est pas moins très serviable, que le confort est là et qu'il y fait bien chaud !




Mais en fait, tout ça n'est pas le propos car comme je vous l'ai annoncé en titre: c'est mon ventre qui vous parle,  alors; fi de de la beauté ! fi de l’accueil ! fi de l'ambiance !  il vous le dit tout de go: " je viens ici pour le "Kotsi".


Le "Kotsi" est une des spécialités de Δια Ταυτα,  le Kotsi est le jarret du porc. Il est  cuisiné ici d'une façon qui ne lui enlève ni tendreté ni ne le sèche. C'est un plat simple tout en étant un vrai régal.



Accompagné d'une salade grecque, il s'avale trés bien à deux ... ou même à trois ! car le morceau est copieux.





Ajoutez un petit verre de vin blanc local, Deux tartines grillées à l'ail et huile d'olive pour agrémenter le tout... et bon appétit !

 Si vous passez par ici,  allez chez Dia Tauta pour son Kotsi, je vous le recommande.
Le site : Δια Ταυτα

jeudi 17 janvier 2013

Un coup de pouce Aristotélicien.


Tandis que Marseille s'ouvre Capitale Culturelle 2013, moi je retourne à Thessalonique, pour quelques jours, hélas, pas même le temps pour le tourisme. Juste une petite marche.

Se faisant, je croise Aristote qui, comme d'habitude, joue avec les enfants. Le saluant, je lui confie mon

souci et lui demande "quand Qu'en penses-tu ?" (oui, on se tutoie depuis le temps qu'on se croise là sur cette place)

Il me dit "Philfff, vois-tu :
'Toute chose nécessaire est par nature ennuyeuse.'

Ok, mais parfois Ari (oui, on est assez intime pour les diminutifs) j'ai des doutes.

alors il me répond :
'Le doute est le commencement de la sagesse' touche mon gros orteil, cela te portera chance comme à tous ces touristes .


 
 Il faut savoir qu'en effet, comme pour de nombreuses sculptures, une partie est considérée comme porte-bonheur, faisant luire le bronze à  cet endroit. Pour mon ami philosophe c'est le gros orteil.

Effleurant donc cette extrémité, je me doutais bien que ce n'est pas ça qui aller arranger mon cas, et qu'il serait plus sage d'aller se restaurer.


Alors ? me demande-t-il, vraisemblablement tu sembles satisfait !


Je lui dis donc mon intention d'aller déjeuner et j'ajoute:

 ' Il faut préférer ce qui est impossible mais vraisemblable à ce qui est possible, mais incroyable'


Ah ah ah ! répond-il je la ressortirai celle-ci !



Le restaurant où je vais m'asseoir n'est pas trés loin, la dernière fois je n'avais pas eu l'occasion d'en profiter, cette fois:  "Δια Ταυτα"  ( Dia Tauta : Pour Conclure,  m'a-t-on traduit).
Mais il sera l'objet d'un autre billet.