Un tableau.
Hommage.
Hommage.
Comme le temps passe vite.
Orphée
La femelle de l’alcyon, L’Amour, les volantes Sirènes, Savent de mortelles chansons Dangereuses et inhumaines. N’oyez pas ces oiseaux maudits, Mais les Anges du paradis.
Raoul Dufy. Les Sirènes. |
Les Sirènes
Sachè-je d’où provient, Sirènes, votre ennui Quand vous vous lamentez, au large, dans la nuit ? Mer, je suis comme toi, plein de voix machinées Et mes vaisseaux chantants se nomment les années. G.Appolinaire
C'est un très bel hommage que vous rendez à notre Michelaise, cher Philff, un hommage que, j'en suis absolument certaine, justement elle aurait beaucoup beaucoup apprécié.
RépondreSupprimerDeux ans, et encore j'ai du mal à me convaincre qu'elle n'est plus là, que plus jamais nous aurons le bonheur de jouir de nouveaux fruits, si agréables et précieux, de son intelligence et sa sensibilité, de cette vivacité intellectuelle et humaine vraiment sans égal qu'était la sienne.
Je crois que jamais je ne cesserai d'aller fouiller de temps en temps dans le bon sens et la déraison de son blog, où chaque fois je continue à m'étonner, à réfléchir, à m'émouvoir et aussi (peut-etre surtout) à m'amuser. Et surtout surtout: à l'aimer.
Ciao Nicole, on pense à toi.
De tout coeur avec vous Siu, moi-même, souvent je flâne parmi ses articles, j'y trouve ce que j'y cherche, de la réflexion, de la culture, de la bonne humeur, etc. la liste est longue.
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