Gdansk !
C’est la plus grande ville portuaire de toute la Pologne. On la nomme la perle de la Baltique mais j’ajouterais : une perle de plus à mon collier de voyages avec Tallinn et Riga qui revendiquent aussi le terme et sont aussi très belles et qui ont fait eux aussi de l’ambre, une spécialité.
C’est la plus grande ville portuaire de toute la Pologne. On la nomme la perle de la Baltique mais j’ajouterais : une perle de plus à mon collier de voyages avec Tallinn et Riga qui revendiquent aussi le terme et sont aussi très belles et qui ont fait eux aussi de l’ambre, une spécialité.
Le nom de Gyddanzyc est
apparu pour la première fois en 999. L’origine de ce mot est étroitement liée
aux terrains humides où se trouve la ville actuellement (la racine
« gd » se rapporte à tout ce qui est humide, mouillé). (extrait de le petit journal).
Malgré le ciel bleu, la lumière est très différente de ma Provence : elle
n’encense pas les ocres, ne ravive pas les roses, ni les jaunes des façades ne rivalisent
avec le soleil.
Tout juste révèle-t-elle les nuances pastel des maisons.
Alors comment traiter « photographiquement » parlant de cette Polonaise
lumière ? Dans le doute, j’opte pour le noir et blanc qui, ma foi, rend
bien l’atmosphère.
Les premiers pas dans Gdansk
passent par le « DŁUGIE POBRZEŻIE » « le
long quai » en français.
Une petite galère attend le touriste pour un petit tour sur la Motlawa.
On croise, le long du quai, plusieurs portes superbes qui ouvrent sur des rues perpendiculaires, ici la Porte du pain. |
Sur la rive opposée, c’est le renouveau : les immenses anciens greniers
sont soit détruits soit transformés pour abriter la Philharmonique, ou bien des apparts, un
hotel, etc.
Tournons sur Dluga Targ qui se poursuit par la rue Dluga après la fontaine de Neptune. Ah ! Neptune ? immigré grec ! Témoin d’un passé ou le pays n’était pas hostile à l’immigration. Amnésique Pologne !
Mais bon passons. Ou plutôt, revenons en couleur sur Dluga Targ:
il me faut accepter la lumière un peu fade et apprécier ces façades pastel, car c'est vrai elles sont admirables.