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jeudi 5 mai 2016

Gdansk au teint pastel



Gdansk !


C’est la plus grande ville portuaire de toute la Pologne. On la nomme la perle de la Baltique mais j’ajouterais : une perle de plus à mon collier de voyages avec Tallinn et Riga qui revendiquent aussi le terme et sont aussi très belles et qui ont fait eux aussi de l’ambre, une spécialité.

Le nom de Gyddanzyc est apparu pour la première fois en 999. L’origine de ce mot est étroitement liée aux terrains humides où se trouve la ville actuellement (la racine « gd » se rapporte à tout ce qui est humide, mouillé). (extrait de le petit journal).



Malgré le ciel bleu, la lumière est très différente de ma Provence : elle n’encense pas les ocres, ne ravive pas les roses, ni les jaunes des façades ne rivalisent avec le soleil.
Tout juste révèle-t-elle les nuances pastel des maisons.
Alors comment traiter « photographiquement » parlant de cette Polonaise lumière ? Dans le doute, j’opte pour le noir et blanc qui, ma foi, rend bien l’atmosphère.





Les premiers pas dans Gdansk passent par le « DŁUGIE POBRZEŻIE » « le long quai » en français.

 Une petite galère attend le touriste pour un petit tour sur la Motlawa. 

On croise,  le long du quai, plusieurs portes superbes qui ouvrent sur des rues perpendiculaires, ici la Porte du pain.

Sur la rive opposée, c’est le renouveau : les immenses anciens greniers sont soit détruits soit transformés pour abriter la Philharmonique, ou bien des apparts, un hotel, etc.



 

Tournons sur Dluga Targ qui se poursuit par la rue Dluga après la fontaine de Neptune. Ah ! Neptune ?  immigré grec ! Témoin d’un passé ou le pays n’était pas hostile à l’immigration. Amnésique Pologne !



Mais bon passons. Ou plutôt, revenons en couleur sur Dluga Targ:

il me faut accepter la lumière un peu fade et apprécier ces façades pastel, car c'est vrai elles sont admirables. 









Pensez à cliquer sur les photos pour mieux les voir !


Et voilà ! je vous laisse sur cette splendide rue !

A + ! 

jeudi 28 avril 2016

La Défense XVI - Les beaux jours arrivent !

Les beaux jours arrivent !
Le soleil réapparait doucement en cette fin d’Avril sur La Défense, alors rien de tel qu’une petite balade !
Sans trop trainer tout de même car, primo, il ne fait que 8°C et deuzio, depuis que ma fille m’a offert un bracelet cardio,
Qui me dit de marcher 10000 pas/jour,
Qui, malgré mes reproches réitérés, en oublie toujours la moitié,
Qui me dit que je dors mal et
Qui a fini au fond du tiroir de la table de nuit…enfin bref, depuis ce temps, je me dis que je ne me bouge peut-être pas assez: alors oui , rien de tel qu’une petite balade !


Et puis profiter pour vous faire découvrir ce musée en plein air J


Juste aprés le CNIT, à droite de la Grande Arche, le dos tourné à  Paris, ont poussé en 1989, des tiges d’acier : un « utsurohi », installation métallique, mise au point par l’artiste japonaise Aiko Miyawaki.

Ces « dessins en l'air » symbolisent le lien entre le ciel, le vent et la lumière. Le résultat offre une composition de 30 colonnes de 30 cm de diamètre
en acier galvanisé, recouvert d’un matériau en verre cristallisé, scellées au sol, dont la tête est reliée par de fines tiges d’acier inoxydables de diamètres variables
et longues d’environ 10 mètres.



















Passée l’Arche, on aperçoit entre deux immeubles, une jolie passerelle : 

un pont Japonais qui se nomme 

                                                                                                                                                                                                    « Le pont Japonais »

Le pont Japonais souhaité par l’architecte Kisho Kurokawa fut réalisé par Peter Rice, une passerelle piétonne en une seule portée de 103 mètres enjambe les sept voies de l’axe routier et relie la Tour Pacifique (réalisée par Kurokawa) à l’immeuble Kupka.


Pour les intéressés, je cite RPF, http://www.rfr-group.com/, qui a créé la structure :










"Double arche sous-tendue : deux arcs inclinés, caissons en acier soudé de section triangulaire se rejoignent en leur sommet. Chacun est sous-tendu par un tirant qui suit la courbure parabolique de l'arc et dont la courbe est maintenue par un alignement de suspentes formant un plan stable entre arc et tirant. Au point d'intersection de chaque suspente avec le tirant se trouvent les noeuds de connexion, sur lesquels viennent s'assembler les bielles horizontales qui écartent les deux tirants ainsi que la structure contreventée du support de tablier. "




"Plus bel ouvrage de construction métallique en 1994 par le Syndicat de la construction métallique de France."                                                                                                                                                  



 J'ajouterais qu'il est coiffé d'une élégante voûte de verre qui sans enlever de sa superbe, permet un certain confort au piéton, perpétuel victime de la météo Parisienne.




A + !

vendredi 1 avril 2016

Review: L'ombre du soleil

L'ombre du soleil L'ombre du soleil by Christelle Maurin
My rating: 3 of 5 stars

Trame policière excellente ! même si elle manque parfois d'un peu de subtilité. En filigrane, histoire d'amour un peu niaise pour un commissaire semblant aguerri aux aléas de la vie...

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