Les beaux jours arrivent !
Le soleil réapparait doucement en cette fin d’Avril sur La Défense, alors rien de tel qu’une petite balade !
Le soleil réapparait doucement en cette fin d’Avril sur La Défense, alors rien de tel qu’une petite balade !
Sans trop trainer tout de même car, primo, il ne fait que 8°C et deuzio, depuis
que ma fille m’a offert un bracelet cardio,
Qui me dit de marcher 10000 pas/jour,
Qui, malgré mes reproches réitérés, en oublie toujours la moitié,
Qui me dit que je dors mal et
Qui a fini au fond du tiroir de la table de nuit…enfin bref, depuis ce temps, je me dis que je ne me bouge peut-être pas assez: alors oui , rien de tel qu’une petite balade !
Et puis profiter pour vous faire découvrir ce musée en
plein air J
Juste aprés le CNIT, à droite de la Grande Arche, le dos tourné à Paris, ont poussé en 1989, des
tiges d’acier : un « utsurohi », installation métallique,
mise au point par l’artiste japonaise Aiko Miyawaki.
Ces « dessins en l'air »
symbolisent
le lien entre le ciel, le vent et la lumière. Le résultat offre une composition
de 30 colonnes de 30 cm de diamètre
en acier galvanisé, recouvert d’un matériau
en verre cristallisé, scellées au sol, dont la tête est reliée par de fines
tiges d’acier inoxydables de diamètres variables
et
longues d’environ 10 mètres.
Passée l’Arche, on aperçoit entre deux immeubles, une jolie passerelle :
un pont Japonais qui se nomme
« Le pont Japonais »
Le pont Japonais souhaité par l’architecte Kisho Kurokawa fut
réalisé par Peter Rice, une passerelle piétonne en une seule portée de 103
mètres enjambe les sept voies de l’axe routier et relie la Tour Pacifique
(réalisée par Kurokawa) à l’immeuble Kupka.
Pour les intéressés, je cite RPF, http://www.rfr-group.com/,
qui a créé la structure :
"Double arche sous-tendue : deux arcs inclinés, caissons en acier soudé de section triangulaire se rejoignent en leur sommet. Chacun est sous-tendu par un tirant qui suit la courbure parabolique de l'arc et dont la courbe est maintenue par un alignement de suspentes formant un plan stable entre arc et tirant. Au point d'intersection de chaque suspente avec le tirant se trouvent les noeuds de connexion, sur lesquels viennent s'assembler les bielles horizontales qui écartent les deux tirants ainsi que la structure contreventée du support de tablier. "
J'ajouterais qu'il est coiffé d'une élégante voûte de verre qui sans enlever de sa superbe, permet un certain confort au piéton, perpétuel victime de la météo Parisienne.
A + !
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