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jeudi 24 novembre 2016

La Def XVIII les murs peints

Eclaircie dans le ciel de la Def et donc une petite marche pendant Midi, pour voir ? des murs !
La fresque « Coquelicots », un champ « bucolique et aléatoire » selon le conseil départemental. Cette oeuvre de 30 m de long pour 3 de haut est censée entretenir « le dialogue entre le végétal et le minéral ». Catherine Feff qui se dit « née dans les pots de peinture » habite Courbevoie. Elle est la pionnière des bâches d'échafaudage et des trompe-l'oeil géants. En 1989, c'est elle qui emballe l'Arc de Triomphe puis en 2000 reconstitue la porte de Meknès place de la Concorde avant de s'attaquer à l'opéra Garnier.

Mur de Berlin !
Ce qu'en dit Defense-92, c'est qu'en 1990, le Maire de Berlin-Est vendit aux enchères 250 segments, la ville de Paris et à l’Epad en acquirent trois pour un montant de 300 000 deutsche marks, soit 150 000 euros. 
Mais pendant 7 ans, ces 3 morceaux de l’Histoire ne seront pas exposés, il faudra attendre 1997 pour que les trois segments soient installés devant la galerie de la Coupole,
(mur-de-berlin-la-defense-morceau.jpg
empruntée à Défense-92)
 protégés par des éléments en verre afin d’éviter que des tags viennent recouvrir les peintures de Kiddy Citny, artiste allemand, et du musicien français Thierry Noir, peintes en 1984 le long de la Waldemarstrasse à Berlin (quartier de Kreuzberg), en pleine époque des années punk.

 Le Mur est prolongé par les éléments vitrés des deux côtés où sont inscrits les noms de grandes villes.
Depuis la fermeture de la galerie de la Coupole, fin 2010, ce bout du Mur de Berlin retombe de nouveau dans l’oubli. Il reste cependant toujours visible soit du haut (et de lojn) du passage derrière le grand stabile rouge de Calder vers la place Coupole ou mieux d'un passage pour accéder à la gare de La Défense depuis l’avenue Albert Gleizes a été créé, permettant aux passants de pouvoir le contempler. Cependant dans les prochaines années l’ancienne galerie marchande devrait être entièrement transformée en un nouveau centre commercial. Les trois segments pourraient alors changer d’emplacement…nous dit-on.

Un autre à voir plus loin, ce sera pour une autre balade...

Je viens de finir de Sartre Le mur, une nouvelle.

Le Mur est le récit à la première personne d'un prisonnier républicain espagnol condamné à être fusillé par les armées franquistes ; la nuit d'attente s'achève dans la dérision du sort (survie non désirée grâce à une trahison non voulue). D'aprés Wikipedia ...

Ah ce que j'aimerais que certains politiques aient le même désespoir, n'aient plus l'envie que de boire, manger et dormir tout simplement sans s'entêter à vouloir revenir au pouvoir !  (Survie politique non désirée grâce à une trahison non voulue: les promesses non tenues) D'aprés Philfff...

à + !

jeudi 15 septembre 2016

Déficit pluviométrique: il ne manquait plus que la mouche...

La situation hydro-météorologique du département est marquée, depuis le début de l'année, par un déficit pluviométrique.


Ça fait bien longtemps que je n’ai pas parlé des oliviers, c’est vrai, mais le temps manque, le temps manque…

Mais là, il le fallait. Après une année passée très très bonne, voici celle-ci désastreuse encore une fois : Sécheresse terrible et on nous annonce l’arrivée de la mouche :/


Sécheresse, le sol se fendille un peu partout sur le terrain où l’herbe, après avoir ri jaune, rend l’âme…Les feuilles des arbres se recroquevillent, 







les fruits (quand il y a en a, c’est-à-dire un arbre sur 10) sont minuscules.


















Arrosez ! Arrosez ! dit une productrice (cf. l’article) les arbres souffrent !! avant, avant on irriguait, on détournait l’eau du canal pour inonder les terres !!! Oui mais c’était avant, l’eau ne coûtait rien. Maintenant, un particulier ne peut plus se permettre d’inonder son terrain, mais elle a raison il faudrait.


N’arrosez pas ! N’arrosez pas ! dit la Préfecture des Bouches-Du-Rhône ! Les niveaux vont être au plus bas et nous risquons la pénurie, oui n’arrosez pas ou peu, elle a raison, il faudrait.

Donc ? Eh bien assoyons-nous sur la clôture. Ou, mieux dit (expression moins douloureuse) ménageons la chèvre et le chou et arrosons ici et là avec un Italien et un Arménien: avec parcimonie et à bon escient…


Pour la mouche de l’olivier, ce n’est pas terrible non plus. Il y en a un moulon dans tout le bassin méditerranéen. Pour l’instant, elles n’ont pas franchi mon grillage…














J’ai vu que l’on pouvait fabriquer des pièges à mouches : je vais me pencher sur la littérature et je vous reparlerais plus tard.






à + !

jeudi 8 septembre 2016

Mon ventre vous parle de Syracuse, il blu del tonno,

mia pancia si parla di Siracusa, si. Il tonno del Blu

J'ai une petite expérience de la restauration italienne, mais une expérience tout de même. Et si, comme en France, on trouve de tout: du bon, et du moins bon, il se trouve que quelquefois, on s'assoit au hasard et là on se régale.

On se régale d'abord par la conversation sympathique du personnel (la famille, je pense) en toute simplicité (mais là mon ventre n'est pas concerné car comme dit le dicton "ventre affamé, n'a pas d'oreille" et je rajouterais "même plein, il s'en fout..."
Mais je m'égare.


C'est donc dans Syracuse  et plus précisément au bout de l'île d'Ortigia que cela m'est arrivé. 
Un établissement tout simple, loin de tous les autres aux allures trop "touristiques" à deux pas de la mer, assez en retrait pour éviter le bruit des scooters et voitures, et enfin à l'ombre : Il Blu.

Les deux seuls déjeuners possible pendant mon travail ont été pour ce petit restaurant.

Une entrée avec ricotta en veux-tu, en voilà bien fraiche.                                                                                                                                                                                                                                                                                                      que j'ai repris la deuxième fois.
Un filet de thon sur lit de figues confites, 
sauce pistache, la première fois.
Et sur le conseil du Chef, la 2ème fois




Thon blanc grillé sur lit de pèches confites, sauce chocolat.

Les deux fois pour un prix trés modique ! dans les 25 €, boisson comprise: comment voulez-vous ne pas recommander une telle adresse ? 

Si vous étes par là : ALLEZ-Y !





A + !