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mercredi 26 février 2025

LE CERVEAU SENOIR, A LA RETRAITE, LA GESTION DU TEMPS.

Ben oui. La gestion de mon temps m'importe.
 
Je ne sais pas vous mais moi j'ai du mal à tout caser dans une journée, dans une semaine même. Et puis je dois le dire la procrastination, c'est ma . Alors je me suis penché sur la question et surtout retourné derrière moi, les années de boulot, celles "au bureau".

Et au bureau, efficacité oblige, et aussi pour gagner du temps à des fins pas toujours professionnelles, j'organisais mes tâches sur une "to do list" pardon "une liste de choses à faire" et ensuite j'appliquais la méthode Pomodoro.

Et bien scoop : A la retraite, je continue ! 

Ou j'essaie. Je ne réussis pas à 100 % mais j'obtiens des résultats significatifs et je me suis dit que peut-être cela peut intéressé quelques uns. Pour rappel, qu'est-ce que la technique Pomodoro ? 

Résumé de l'I.A. sur Qwant: 

"La Technique Pomodoro, inventée par Francesco Cirillo dans les années 1980, consiste à travailler par intervalles de 25 minutes, appelés "pomodoros", suivis de courtes pauses de 5 minutes."

Ce n'est pas très compliqué mais efficace, par contre pour une bonne optimisation il ne faut pas tricher : 25 min c'est 25 min pas plus, même si vous pensez que vous allez terminer une tâche dans quelques minutes de plus.
Non ! stop ! 5 minutes de pause !
Et après seulement vous finissez (et vous vous apercevez qu'en fait, vous aviez besoin de beaucoup plus de temps...)
C'est simple et c'est contraignant aussi. 
Il faut être discipliné. 
Regarder l'heure au début, mettre le minuteur sur 25.
Et quand ça sonne.
Pause.
Pro-cras-ti-na-ti- stop ! 25 minutes !

Pour moi ça marche pas mal : je sais que j'ai 25 minutes et pas plus donc je me focalise davantage sur ma tâche - évitant ainsi la dérive de l'attention sur autre chose - donc plus rapidement effectuée. Je dois dire que, les 25 minutes passées, je passe à autre chose: je ne suis plus au bureau les tâches sont variées, l'entretien extérieur, intérieur, cuisiner, marcher, pour ne donner que ces exemples n'entrent pas dans cette technique. 
Donc Pomodoro, oui mais pas que. 

Ensuite il y a les bonnes habitudes à prendre et les mauvaises à abandonner. L'année dernière j'avais partagé avec vous quelques trucs pour rester en forme vous et votre cerveau (là). Pour ces actions à entreprendre, comme s'hydrater, faire des mots croisées, écrire à la main, apprendre un texte par cœur J'ai donc couplé à la technique Pomodoro une habitude à prendre.

 Exemple: S'hydrater. Pour que je prenne l'habitude de boire (de l'eau, je précise) je laisse un verre d'eau constamment rempli sur la table, pas une bouteille parce qu'on a pas le réflexe de vider une bouteille mais un verre plein oui. Dès que mes 25 minutes se sont écoulées, j'arrête et je bois mon verre. L'habitude n'est pas encore bien acquise mais ça vient. 
Idem pour le Tai-Chi: 25 min. Pof . J'arrête. Je bois. Etc. etc. Autre exemple: La To Do List est écrite à la main. Prendre des bonnes habitudes.

Et bien oui ça parait trop simple (oui vous avez le droit de penser que je suis simplet) mais ça marche pour moi !

A+ !

mercredi 19 février 2025

QUELQUES JOURS A DUBLIN.

 Quelques jours dit le titre. Oui mais pas assez. La ville nous a vraiment séduits et après la visite de la National Gallery, nous nous sommes vite aperçus qu'en fait nous allions repartir sans vraiment la connaître.

Alors, plutôt que de courir d'un musée à un autre, d'une église à l'autre pour en fait ne pas avoir le temps de regarder et de voir vraiment, nous avons plutôt opté pour une visite légère, pour humer l'ambiance celte: des balades à droite, des balades à gauche dans différents lieux sans se prendre la tête.

Notre hôtel était très bien situé, sur la O'Connell street, large avenue donnant sur des rues commerçantes où l'on peut admirer "The Spire", nous étions à 20 mn de la National Gallery, à 15 min de Trinity College et de sa Old Library, et encore moins loin de Temple Bar. 

Ce qu'il y a de désagréable quand on visite Dublin à cette époque de l'année c'est le temps: au minimum humide au maximum pourri, ce qu'il y a de bien par contre c'est l'absence de touristes de masse. Nous sommes immergés parmi les Irlandais que ce soit dans les magasins, dans les musées, les pubs, etc. Et ça nous dépayse vraiment. 

Après avoir traversé le pont qui enjambe la Liffey et avoir fait un petit coucou à Molly Malone (clic), nous avons pris la direction de Trinity College pour jeter un œil sur la Old Library
Trinity College est une université très réputée. De nombreux étudiants vont et viennent autour de la grande place intérieure, il me semble les connaitre un peu: ils me rappellent Marianne et Connell, dans le subtil roman de Sally Rooney, "Normal People". Il m'avait bien plu ce bouquin.

Trouver la vieille bibliothèque, n'est pas facile, ou alors on n'est pas doué, après avoir fait le tour des beaux bâtiments, nous voyons enfin un panneau indiquant "Library" la construction est récente et lorsque nous entrons dans le hall, personne n'est là pour nous accueillir. A la pêche aux renseignements auprès d'un "gardien ?" (d'origine indienne j'adore leur accent) il s'avère que nous sommes dans la bibli des étudiants. Question orientation, je confirme on n'est pas doué ! 

Enfin nous y sommes. L'achat du ticket se fait par internet, il suffit d'aller sur le site avec le smartphone (il y a une connexion wifi qu'on vous donne à l'entrée) et zou on prend deux billets et on entre.

The Long Room est impressionnante !! longue de 65 m et haute de 2 niveaux. 

Toute habillée de chêne, elle contient plus de 200 000 livres anciens ! Dont le fameux Book of Kells, un manuscrit du moyen-âge calligraphié et enluminé à la main. Celui-ci n'est pas visible dans la Long Room, il est isolé et il faut de nouveau payer pour l'apercevoir dans une vitrine ce que nous n'avons pas fait. Vous pouvez le feuilleter ici (clic) si vous le souhaitez.


Ce qui m'a attiré cependant est la harpe exposée dans l’allée centrale, symbole de l’Irlande, on la voit sur les pièces de monnaie. En chêne et en saule avec 29 cordes en laiton, elle date du XVème. 



Et puis il y a l'affiche ancienne de la Proclamation de la république Irlandaise de 1916. Cette proclamation est un point important de l'Histoire proche des Irlandais, une guerre d'indépendance de plusieurs années s'en est suivie.

La Déclaration d'indépendance de l'Irlande a été adoptée le 21 janvier 1919 par le Dáil Éireann à Dublin.
Elle proclamait l'Irlande comme une république souveraine, indépendante de la Grande-Bretagne. 

Ça commence ainsi:

Au nom de Dieu et des générations disparues dont elle hérite de son ancienne tradition de nation, l'Irlande, à travers nous, appelle ses enfants à son drapeau et se bat pour sa liberté.
Ayant organisé et formé ses hommes à travers son organisation révolutionnaire secrète, l'Irish Republican Brotherhood, et à travers ses organisations militaires publiques, les Irish Volunteers et l'Irish Citizen Army, ayant patiemment perfectionné sa discipline, après avoir résolument attendu le bon moment pour se révéler, elle saisit maintenant ce moment et, appuyée par ses enfants exilés en Amérique et par de braves alliés en Europe, mais s'appuyant d'abord sur ses propres forces, elle se bat en ayant pleine confiance de la victoire.
Nous déclarons le droit du peuple irlandais à la propriété de l'Irlande et au libre contrôle de ses destins irlandais, à la souveraineté et à l'imprescriptibilité...

Wiki (clic) explique la suite: "À la suite de la déclaration les insurgés prennent la Poste. Alors que des pillards profitent de la confusion, les insurgés essaient de remettre de l'ordre. Les Britanniques ne tardent pas à mettre en place une riposte.

Les combats entre les indépendantistes et les Britanniques détruisent le centre ville de Dublin, il en résulte qu'il n'existe qu'un faible nombre d'affiches en circulation. Les Britanniques finissent, dans le sang, par soumettre les indépendantistes survivants, mais cet événement est considéré comme le début de la prise d'indépendance du sud de l’Irlande six ans plus tard."

A + !

mercredi 12 février 2025

LA GALERIE NATIONALE A DUBLIN.

Nous étions de retour en Irlande et à la capitale Dublin ! oui et pas pour le boulot ! 

Avant de visiter la Guinness Store House - que je vous ai présentée foremost à la demande expresse de my pretty belly (ici) - nous avons d'abord sillonné cette belle ville et vu quelques incontournables, comme la Nationale Gallery of Ireland.

Sur trois grands niveaux, on peux y admirer de très belles œuvres d'artistes connus (Caravage,  Goya, Monet, Picasso, Rembrandt, Van Gogh ou encore Velázquez) 


Vincent van Gogh
Zundert 1853-1890 Auvers-sur-Oise
Toits de Paris 1886
Huile sur toile
Van Gogh s'installe à Paris au printemps 1886. Il peint peu après cette vue panoramique de la ville depuis Montmartre. Tout au long de sa vie, Van Gogh est fasciné par les ciels et les formations nuageuses. Ici, l'horizon bas fait la part belle à une étendue de ciel gris. Ce petit tableau aux couleurs sobres révèle à quel point Van Gogh était profondément lié à la tradition naturaliste à son arrivée en France. Quelques mois seulement après l'avoir peint, il rencontre Paul Gauguin et Émile Bernard, et son œuvre commence à prendre la couleur intense et l'empâtement vigoureux qui font sa renommée aujourd'hui.
Acheté en 2007, NGI.2007.2
87

Mais aussi des peintres plus locaux, plus "Iles Anglo-Celtes": Freud (Lucian), Leech, Maclise, Nicol (Erskine), Swanzy, Yeats, etc.

Je vous en ai choisi quelques uns comme d'habitude avec leur cartel que j'ai eu l'amabilité de vous traduire enfin pas moi mais Google Translate car je serais bien incapable de commenter le moindre petit tableau, comme je l'ai fait ci-dessus avec Van Gogh.

J'ai opté pour ceux que l'on voit moins souvent i.e. ceux de la deuxième liste. 

On y va.

Dod Procter Londres 1890-1972 Redruth, Cornouailles
Fille endormie
vers 1927
Huile sur toile
Procter a vécu et travaillé à Newlyn, en Cornouailles, où elle avait été formée à l'école dirigée par Stanhope et Elizabeth Forbes. Au cours des années 1920, elle est devenue célèbre pour ses peintures de jeunes femmes introspectives, exécutées dans un style froid et détaché. Le modèle de ce tableau était Cissie Barnes, la fille d'un pêcheur local. L'utilisation sobre de la couleur par Procter renforce l'apparence sculpturale de la jeune fille endormie.
Présenté par Sir Alfred Chester Beatty, 1954, NGI.1294

Beau commentaire que celui-ci. Dod est connue pour son tableau Morning (clic). Ces deux tableaux me rappellent les tonalités de Hopper, l'effet sculpture de Botero.

Les salles sont spacieuses permettant un recul agréable pour apprécier les grandes toiles. 

Peter Doig Édimbourg, 1959
Cabine en béton côté ouest
1993
Huile sur toile
Dans les années 1990, Peter Doig a réalisé une série de peintures à grande échelle inspirées par l'Unité d'Habitation de Briey-en-Forêt, dans le nord-est de la France. Ce complexe d'habitation moderniste, conçu par l'architecte pionnier Le Corbusier en 1956, avait été abandonné et laissé à l'abandon pendant de nombreuses années. Les scènes évocatrices de Doig explorent les idées sur les interventions humaines dans la nature, la nostalgie et la mémoire. Ici, il donne un aperçu des appartements vides à travers les arbres environnants, attirant le spectateur de l'obscurité vers la lumière. Lorsque Doig a été nominé pour le prix Turner en 1994, il a inclus cette image dans son exposition à la Tate Gallery.
Prêt d'une collection privée ; L.2018.7

William Leech Dublin 1881-1968 Guildford
L'ombrelle
vers 1913
Huile sur toile
Elizabeth Saurine, la première femme de l'artiste, a servi de modèle pour ce tableau. À l'arrière-plan, on peut voir les hautes tiges de lys. Le décor pourrait être le jardin de Concarneau, où Leech a peint son célèbre tableau Un jardin de couvent, Bretagne (vers 1913 ; National Gallery of Ireland). L'ombrelle filtre le soleil et projette des ombres vertes sur le visage de la femme. Les couleurs vives et les taches de lumière sont caractéristiques du style postimpressionniste de Leech.
Présenté par Mme M. Botterell, 1952, NGI.1246


Lucian Freud Berlin 1922-2011 Londres
Souvenirs de Londres
1940
Huile sur toile
La famille de Lucian Freud a quitté Berlin pour Londres en 1933 pour échapper à la montée du nazisme. Il a peint cette œuvre de jeunesse lors d'un séjour de deux mois à Snowdonia alors qu'il était à la fin de son adolescence. La figure est basée sur son souvenir d'un vendeur de journaux qui se tenait près de sa maison familiale à St. John's Wood. En 1938, Freud avait visité la grande exposition Twentieth Century German Art à Londres. Le décor ombragé, la perspective exagérée et l'intensité psychologique de cette scène ont sans aucun doute été influencés par son intérêt pour l'expressionnisme allemand. Peint au début de la Seconde Guerre mondiale, Freud évoque un air d'aliénation et d'appréhension à la fois personnel et omniprésent.
Prêt d'une collection privée.

Mary Swanzy Dublin 1882-1978 Londres
Motifs de toits, Tchécoslovaquie
vers 1920-1922
Huile sur toile
Après la Première Guerre mondiale, Swanzy se rendit en Tchécoslovaquie et en Yougoslavie où sa sœur participait à des opérations de secours. Durant cette période, elle réalisa des croquis et des peintures de paysages et de la vie villageoise. Dans cette image, Swanzy explore les motifs créés par les toits aux couleurs vives depuis un point de vue élevé. Les lignes courbes des bâtiments transmettent un sens du rythme et du mouvement, qui se rapporte à l'intérêt de longue date de l'artiste pour le futurisme et le vorticisme. En limitant sa palette au rouge, au vert et au blanc, Swanzy met l'accent sur les formes abstraites et les motifs répétés.
Acheté en 1999, NGI.4663


Jack B. Yeats
Londres 1871-1957 Dublin
Au-dessus de la foire
1946
Huile sur toile
Les foires étaient une source régulière d'inspiration pour Yeats. Pour ses premières images de foires irlandaises, il semble s'être largement inspiré de ses souvenirs de voyage dans le nord de Mayo avec son ami J.M. Synge. Le titre de ce tableau peut être compris comme une référence littérale au point d'observation surélevé d'où la scène est vue, mais il est tout aussi probable qu'il fasse référence métaphoriquement au jeune garçon aux cheveux dorés sur le cheval à gauche du centre, qui a été élevé au-dessus et libéré de la foule en contrebas.
Présenté par le révérend Senan, au nom d'un groupe de particuliers, 1947, NGI.1147

Voilà, j'espère que vos yeux se sont régalés autant que les miens !   Si le cœur vous en dit, il y a ce "Virtual Tour" qui met en valeur la Galerie et donne une très belle idée de sa collection. clic ICI.


  A + !

mercredi 5 février 2025

MON VENTRE VOUS PARLE STOUT. DUBLIN.

 Ah Dublin ! On en rêvait depuis longtemps ! (à relire ce début, il me semble redondant dans mes articles de  voyage, il faudra quand même que le vérifie) La ville de ma bière préférée ! Dans le pays qui ne nous a jamais déçu ! Nous n'avons pas commencé par elle (la bière), mais mon ventre a insisté pour vous y faire goûter d'abord.

La Guinness® est une stout, c'est à dire issue d'un moût caractérisé par sa teneur en grains hautement torréfiés pour ne pas dire carrément bien grillés. Ce coup de chaud lui donne sa couleur particulière noire et ce goût ! ce goût !

Ô combien de mes amis font la grimace quand je leur dis: qui veut une Guinness® ? préférant l'aigreur d'une blanche que personnellement je digère mal.

Et pourtant quelle sensation de fraiche plénitude en bouche tout en gardant son goût prononcé que j'attribuais jadis, aux premières gorgées, à un ajout de tourbe (?? insensé !!), et, comme Philippe Delerm, je m'en souviens encore.

A Dublin, fiers de leur produit et malins comme pas deux, les gens de la firme ont ouvert les portes à un "musée" de la bière au sein de l'ancienne fabrique, mêlant l'histoire de Guinness® au fil des siècles et explications de la fabrication.

Le nom de ce musée est "Guinness Store House"


Billets pris sur le net ICI tarif qui commence à 17 € pour les vieux, c'est bien ciblé, en milieu de semaine et assez tôt. 

La visite commence par le rez-de-chaussée.


On nous présente les ingrédients:

  •  l'eau, importance de la pureté, elle provient directement d'une source des montagnes de Wicklow: elle nous est présentée par une belle et bruyante cascade bleue.
  • Le houblon
  • L'orge maltée qui sera torréfiée
  • La levure, celle d’Arthur Guinness ! On nous dit que la levure utilisée dans la Guinness® descend de la souche utilisée par Arthur lui-même. On sait en effet que depuis le début du 19ème siècle, une partie de la levure de chaque brassage a été transférée sur le suivant. Cela permet d’assurer une constance. La levure pour la Guinness® n’est cultivée qu’ici, à St. James’s Gate, et elle est si précieuse qu’une réserve est toujours conservée sous clé dans un coffre-fort:. Si quelque chose arrivait à la réserve principale, cette réserve pourrait reconstituer rapidement les stocks !
Il faut ajouter à ces ingrédients l'azote qui va donner une mousse riche et onctueuse ! Suivant l'itinéraire, nous découvrons les "secrets" de la fabrication de la bière. des installations énormes nous informe par exemple,
que tous les jours à 10h00 des personnes viennent contrôler la qualité de la production en goûtant la bière. (là on ne voit pas bien mais l'horloge marque 10h00)

Des brancardiers sont présents au cas où certains en boivent trop et ne tiennent plus debout pour les les mettre dans la cellule de dégrisement qu'est le gros fût à coté. Mais non ! mais non ! je plaisante ! pas de brancardiers ! et dans le gros fût à coté de l'horloge il y a un film explicatif.

Bref nous passons ensuite à l'étage supérieur: les modes de stockage, la tonnellerie, le transport.




Et puis il y a enfin la dégustation au dernier étage dont une partie est en fait une grande véranda ronde.



J'apportais en premier un Coca à ma moitié qui, en voyant ce verre rempli d'un liquide noir et pétillant, crut que c'était la bière et, voulant y goûter, trempa ses lèvres. Ah mais on dirait du Coca ! Ben oui, c'était du coca.

Je prenais pour moi une belle Guinness® ! 


La magie de cette mousse si fine est l'utisation de l'azote. D'ailleurs, je ne sais pas si vous avez remarqué dans les canettes de Guinness® ? La petite bille noire dedans ?  Appelée gadget flottant (floating widget), elle contient de l'azote sous pression pour recréer l'effet de mousse onctueuse de la bière servie en pression.
Lorsqu'on ouvre la canette, la pression diminue et la bille libère l'azote, générant ainsi de petites bulles.
Ce mécanisme imite le tirage d'une Guinness® en pub, offrant une expérience similaire à celle de la bière pression que j'ai filmé ci-dessus.


A + !