La
Collection Lambert en Avignon ET en la prison Sainte-Anne. LA DISPARITION DES LUCIOLES
Et nous n’avons
pas été déçus.
Le décor est
rude, émouvant, froid, inhospitalier.
Et ce qui marque,
ce ne sont pas les œuvres mais les murs
auxquelles elles sont accrochées, les portes par lesquelles on y accède.
J’étais entré
avec le projet de faire un billet sur l’expo, j’en suis sorti avec la
conviction qu’il me faudra en faire deux voire trois. Voici le premier.
du 17
mai au 25 novembre Avignon, à la Prison
Sainte Anne
Titre de l’expo emprunté au texte de Pasolini (le
texte intégral ici)
La plupart des œuvres se situent dans les cellules ouvertes
ou bien quelquefois fermées,
il faut alors – comme un maton – coller son œil au judas pour les voir
Le fait d'exposer une création comme une pile
de valises dans une prison n'a pas le même impact sur le visiteur que si elle
était exposée dans un aéroport.
«Mannequin avec empreinte de pinceau n°50»
ne délivrent pas le même message derriére
Je considére donc que le message porté par une sculpture,
l'allégorie d'une installation peuvent
être ici amplifiés ou bien détournés du sens initial
voulu par l'auteur.
Mais trève de commentaires, je vous laisse regarder ces quelques photos...
| CLAUDE LEVEQUE, J'ai revé d'un autre monde |
| François Halard Niel Toroni, «Mannequin avec empreinte de pinceau n°50» |
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| Tiens un Wharol ! la chaise électrique... |
Article intéressant: http://www.claudinecolin.com/fr/1045-la-disparition-des-luciole
à + !

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