De l’importance de la mémoire. Paradoxe : Lisbonne – La Def. Paris .
”Le Grand Toscano” trés belle œuvre de Igor Mitoraj.
Sur un socle de granit, une partie d’un buste colossal semble cassé - comme abimé par le temps – rappelle les restes de statue antique – sentiment renforcé par le fait qu’au pied du colosse on peut voir un cylindre et un cube de granit disposés un peu comme des morceaux de ruines d’un temple ancien.
”Le Grand Toscano” trés belle œuvre de Igor Mitoraj.
Sur un socle de granit, une partie d’un buste colossal semble cassé - comme abimé par le temps – rappelle les restes de statue antique – sentiment renforcé par le fait qu’au pied du colosse on peut voir un cylindre et un cube de granit disposés un peu comme des morceaux de ruines d’un temple ancien.
Ruines neuves pour quartier neuf ? là ou ne s'étalaient que des champs,
on s'invente un passé.
on s'invente un passé.
En 1755,un mois après le tremblement de terre de Lisbonne, l’ingénieur militaire Manuel da Maia, chargé de la reconstruction de Lisbonne, choisit de raser les décombres du quartier de la ville basse (Baixa), le plus touché, pour le reconstruire entièrement selon les plans de l’architecte Eugénio dos Santos : une immense partie du patrimoine archéologique va ainsi être enfoui à jamais. Le hazard quelquefois, aide à rappeler à tous le passé, telle que cette villa romaine enfouie sous terre mais dont on peut encore apercevoir les vestiges dans … les toilettes publiques !
on enfouit le passé.
De l’importance de la mémoire.
on enfouit le passé.
De l’importance de la mémoire.
Paradoxe : Baixa, Lisbonne – La Défense, Paris .