Quelques billets: Voyages d'abord et partage d'opinions, de photos, bouquins, et les oliviers !
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vendredi 19 juillet 2013
mardi 16 juillet 2013
Arrêt-café à Trieste: e sì perché no?
In strada E70
et passant prés
de Trieste: le panneau, Trieste centro, m’interpelle.
Quelques heures à
perdre, pourquoi ne pas y faire un arrêt-café et vérifier un tant soi peu le billet de Michelaise ?
e sì perché no?
Enfin la voiture garée pas très loin du centre,
je traverse le grand canal et me retrouve devant une superbe église style
orthodoxe : San Spiridone. Ah zut ! Je n’ai pas pris mon 50D et voilà :
pas de belles photos à vous offrir ; grand dommage !!
Continuant mes
déambulations, je franchis enfin le seuil de l’Urbanis pour goûter un petit
macchiato, très bon - manque le petit dessin dans la mousse - le décor également
tient sa promesse, la voute d’origine laisse encore apparaitre quelques jolis
fragments de peinture.
(Désolé pour la
photo, pas mon 50D, snif…)
Au hasard des
rues, le théâtre romain, l’église Santa Maria Maggiore et, au flanc de
celle-ci, à main droite, plus intéressante à mes yeux, l'église de San Silvestro:
une des plus ancienne de la ville, forme irrégulière, elle a gardé, presqu’intact,
son caractère de style roman. Des petits détails (armoiries, sinopia, restes de
peintures polychromes) ajoutent à son charme épuré.
(J’y reviendrai
avec mon 50D vous montrer tout ça en détail…)
Au loin, là-haut,
une tour : allez ! mes kilos superflus ! au trot ! Grimpons
voir si la vue vaut le coup d’œil.
Passage devant la bibliothéque del Converto dei Frati minori cappuccini
et ouf ! Superbe panorama sur la ville !!
(Non, je n’irai
pas plus loin sans mon 50D)
Re-descendu, je
passe par la grandiose Piazza dell’Unita,
En face les statues
La Sartine me montrent le Caffé’ Degli Specchi
- allez un petit cappuchino avant de reprendre la route ! -
L’intérieur est splendide (et différent de la photo de Michelaise) Le cappuccino est à la hauteur du lieu (j’ai mon joli petit dessin dans la mousse)
De retour dans la
rue, je regarde l’heure à l’horloge solaire, mais un gros nuage me joue des
tours, heureusement, quelque chose me dit que è tempo pisolino…
Retraversant le
grand canal, je dis à James :
« Arrivederci, je n’ai pas le temps pour une
vraie visite de Trieste. »
De but en blanc, il me répond:
« Time is, time was,
but time shall be no more…»
Et oui.
À + !
dimanche 14 juillet 2013
Lo'jo, c'est le bon jour
J'écoute La Marseillaise en Créole Lo'jo, c'est le bon jour, non ? ;)
LO'JO "La Marseillaise en créole" -Musiques du... par rfi
mardi 9 juillet 2013
Vé le stage photo à Marseille !
Avoir un reflex, c'est bien mais savoir s'en servir c'est encore mieux ! et pas besoin d'aller à dache pour se perfectionner: c'est sur l'excellente idée de Cathy que nous nous sommes retrouvés, JL et moi, en bas de la Canebiére, parmi d'autres pour un stage d'initiation à la photo. Eh zou ! boulegan sur le Vieux Port, le Canon en main !
La météo n'était guére engageante, et nous n'étions pas trés optimistes quant à la lumière dont nous allions bénéficier.
Nous voilà autour d'un petit café sur le vieux port, à écouter tous Brigitte avec des yeux de gòbi... adieu le mode automatique: bén vengudo le manuel !
Roulette sur "Priorité Vitesse" :
Premiers conseils:
Cadrage, situation des personnages, lumière et patin-coufin...
Voilà donc la premiére photo avec ce qu'il ne faut voir: flou, surexposition, cadrage trop centré, couleurs fades, mise au point des reflets, de choses à acquérir sans se rendre jobastre...Y a du boulot Garri !
L'exposition, mèfi ! c'est important ça : si on laisse faire l'appareil, il va vous mesurer la lumiére en tous points donc: régler sur un seul point central.
Faire mesurer au Canon par le bouton * (qui restera en mémoire quelque temps, dans votre cadran le * s'affiche) sur une partie + sombre pour éviter la sous exposition et à l'inverse sur une partie + claire pour éviter la sur expo, comme j'ai pu le constater sur ces shoots des pointus du vieux port.
Le Mucem offre sa superbe architecture au regard
Pour shooter l'Ombrière, on s'engatse à trouver le bon cadrage !
La météo n'était guére engageante, et nous n'étions pas trés optimistes quant à la lumière dont nous allions bénéficier.
Nous voilà autour d'un petit café sur le vieux port, à écouter tous Brigitte avec des yeux de gòbi... adieu le mode automatique: bén vengudo le manuel !
Roulette sur "Priorité Vitesse" :
Premiers conseils:
Cadrage, situation des personnages, lumière et patin-coufin...
Voilà donc la premiére photo avec ce qu'il ne faut voir: flou, surexposition, cadrage trop centré, couleurs fades, mise au point des reflets, de choses à acquérir sans se rendre jobastre...Y a du boulot Garri !
L'exposition, mèfi ! c'est important ça : si on laisse faire l'appareil, il va vous mesurer la lumiére en tous points donc: régler sur un seul point central.
Faire mesurer au Canon par le bouton * (qui restera en mémoire quelque temps, dans votre cadran le * s'affiche) sur une partie + sombre pour éviter la sous exposition et à l'inverse sur une partie + claire pour éviter la sur expo, comme j'ai pu le constater sur ces shoots des pointus du vieux port.
Mesure de la lumiére sur le ciel trop clair : sous expo |
Mesure de la lumiére sur le sol trop sombre: sur expo |
Mesure de la lumiére dans le reflet sombre de l'eau (plus foncée) : expo ok à mon goût ! |
Autre exercice: l'eau d'une fontaine. vitesse assez rapide pour figer le mouvement avec une sensibilité la + petite possible, mais pas trop sinon: sous expo...
C'était juste une petite partie dont j'ai apprécié l'utilité parmi tous les conseils prodigués par notre prof Brigitte.
Voici ci-dessous les moins mauvais des clichés, appréciez Marseille, le dimanche de la transhumance, porte ouverte du Mucem et ballade dans Le Panier, l'Ombrière, Fantômes dans la Major et voilier passant devant le restaurant 'l'Epuisette.
Cliquez sur les images pour les faire apparaitre plus grandes
Pour le grand défilé, il y avait moulon sur le port et donc pas facile de se positionner pour le shoot du siécle
Puis la rue est devenue cafi de moutons,
et de chevaux magnifiques,
Et les chevreaux font les càcous au beau milieu des troupeaux
Le Mucem offre sa superbe architecture au regard
de la palanquée de visiteurs agglutinés aux entrées comme des arapèdes
Direction Le Panier où tout est plus calme.
Escaliers au Panier |
Pour shooter l'Ombrière, on s'engatse à trouver le bon cadrage !
L'ombrière |
Fantômes dans la Major: appareil posé, temps > 2 min |
Et puis le soir, on met les voiles... |
Superbe journée ! Merci Brigitte !
(à refaire avec JL as soon as possible...)
vendredi 5 juillet 2013
jeudi 4 juillet 2013
L’Oliveraie, fin juin 2013.
Aarrg ! Le
temps nous manque : Délaissée, la page de l’oliveraie ces
derniers temps mais pas les oliviers.
Juste ce petit billet pour mémo :
Juste ce petit billet pour mémo :
Nous avons
taillé un peu plus sévèrement au printemps et nous pensons que
nous n’en avons pas fait assez : soyons optimistes :
nos petites neurones commencent à imprimer la méthode de la taille
!
Puis après
avoir nettoyé autour de chaque arbre, nous leur avons donné à
manger : un bon fumier de cheval sorti tout droit de la ferme
d’à coté J hummm !!!
Les arbres
ont fleuris depuis. Très belle floraison.
Et
défleuris: j’attends avec impatience, si les fruits seront
en bonne quantité itou… à suivre.
mardi 2 juillet 2013
Mon ventre parle grec: Φαγοποτείον !
En descendant du Lycabette, dans les rues du quartier de Kolonaki, il y a un petit restaurant, où, un (très) beau jour, passant devant par hasard, mon ventre vide me poussa à entrer.
Dés le premier pas le décor est planté: on choisit son menu à vue : à droite, les vitrines réchauffent
d'immenses plats qui se disputent la place, rivalisent de promesses
gustatives, me narguent la papille ; moussaka, petits légumes
farcis, poulet en sauce, cotelettes d'agneau, slouvaki, dolmades,
aubergines, féves et autres accompagnements mitonnés, etc.
Vite, choisissons : This.
And this...with this...no. Stop... je ne mangerais pas tout...
Plus loin, à gauche : Greek salad ? Yes ! Tzaziki ? Why not ?
Le lieu est simple et la cuisine est faite maison, il s'appelle le Fagopotion (Φαγοποτείον), alors de la bouche de Dimitris, ça
donne quelque chose comme ça:
«
farropotillonn »
ce
qui signifie quelque chose comme le «lieu pour le manger-et-boire»
Passée l'épreuve du choix,
(frustration de laisser tant de bonnes choses derriére soi), je
m'assied.
Aimable conversation avec ma
voisine de droite, une personne très urbaine, me parle dans un
français assez
particulier, celui de la Nouvelle Orléans, il s'agit de Mme
Jeanne-Michèle Charbonnet, Soprano. Wagner et son Hollandais volant
l'ont conviée à l'Opéra. Dimitris (oui,
c'est le serveur, je ne vous l'avais pas précisé), admirateur de
Madame, m'offre un petit verre de vin blanc...
Ah !
Les plats arrivent !
La suite serait délectable
mais aussi extrémement frustrante pour vous et je vous en éviterais
donc le récit.
Mais retenez cette bonne adresse:
Ah oui ! Juste une chose ! Surtout ne manquez pas les poires confites, cannelle et pignes: un bonheur !
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