De passage à Zadar
Je déambule
Je déambule donc, les yeux levés sur les façades antiques de la vieille ville péninsulaire.
Le lion Vénitien annonce la couleur à l'entrée Est, au dessus de la "Porte de la Terre Ferme" et, dés celle-ci franchie, la "Place des 5 puits" le confirme: la cité est chargée d'Histoire.
Mais la présence d'un ange un peu plus loin renforce l'idée prépondérante que nous n'avons rien vu: une ville comme Zadar de la période néolithique, à celle Romaine,
Byzantine
puis Vénitienne
ou encore Française et puis Autrichienne...
Zara avant Zadar,
mais bien avant Idassa,
puis Jadera,
et puis Diadora.
Diadora qui signifie: La ville avant la ville...
... une ville si riche de son passé restée toujours debout, ne se livre jamais tout à fait; Permettant au chaland un regard étonné sur un patio au détour d'une ruelle...
Joli contraste que ces quatre poubelles jaunes bien alignées, qui volent la vedette aux ruines romaines sur le grand Forum !
A l'extrême ouest, au bout de la péninsule, d'avoir quadrillé la ville, les jambes se font lourdes et c'est tout naturellement que l'on s’assoit sur les marches où l'orgue marin décline sa gamme au rythme des vagues. Inlassablement.
Le soleil s'est couché et Zadar annonce sa modernité en couleurs; panneaux solaires multicolores et changeants, restituant au ciel chaque nuit l'énergie qu'il lui a donné le jour.
Merci pour ce reportage! (... avec le nouvel appareil?)
RépondreSupprimerGrâce à vous (et wikipédia) je m'endormirai avec un peu plus de connaissances que ce matin ^_^
Très beau billet. Il faudrait que j y retourne.
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