C’est la plus grande
ville portuaire de toute la Pologne.
Je ne pouvais donc pas faire qu’un seul billet sur cette charmante ville, bien que mon passage fut bref - cette fin d’après-midi et peut-être un peu demain matin, enfin bref - j’eus le temps de marcher dans cette vieille ville, pleine de curiosités: en voici quelques unes.
Je ne pouvais donc pas faire qu’un seul billet sur cette charmante ville, bien que mon passage fut bref - cette fin d’après-midi et peut-être un peu demain matin, enfin bref - j’eus le temps de marcher dans cette vieille ville, pleine de curiosités: en voici quelques unes.
Comme je vous le disais là, mes premiers pas dans Gdansk
passent par le « Długie Pobrzeżie » « le long quai » en français (à gauche sur la photo).
Autrefois, le port était dans la ville. Conséquence de l’augmentation du trafic
maritime, ce quai, bordant la Motlawa, fut créé au XVII siècle et,
Vestige de ces temps anciens la célèbre grue appelé Żuraw , est restée à sa place, sur ce long quai.
La grue inférieure
permet de lever des poids de 2 tonnes à 4 m de hauteur, grue portuaire
médiévale, elle, est mentionnée dès 1367, reconstruite en 1444 après un
incendie. Vestige de ces temps anciens la célèbre grue appelé Żuraw , est restée à sa place, sur ce long quai.
La grue supérieure
fut ajoutée au 17eme siècle. Elle soulève 2 tonnes à une hauteur de 27m et
permet, entre autre, d'assembler les mâts sur les bateaux.
Curieuse grue qui fonctionnait grâce à deux grandes roues dans lesquelles
marchaient des hommes pour les faire tourner et actionner ainsi les poulies (comme
des hamsters !).
D’autres curiosités m’attendaient
dans la Basilique Sainte Marie ou Bazylika Mariacka.
Monument de briques
rouges, elle est la plus grande église de Pologne avec ses 105 m de long, 66 de
large au niveau du
transept et 27 m de haut. 5000 m2 de surface au sol et le toit occupe carrément un hectare : pas mal non ?
transept et 27 m de haut. 5000 m2 de surface au sol et le toit occupe carrément un hectare : pas mal non ?
Regardez cet intérieur ! Elle peut contenir 20 000 personnes, ce qui fut fait du temps de Solidarnosc.
Elle recèle de superbes trésors, voyez Pluto :
ces œuvres polychromes :
Superbe polychromie !! 1480-1490 . peintre inconnu dix tableaux dans lesquels sont représentés deux scènes montrant les vertus et les vices dans le contexte du Décalogue. Chaque scène illustrant le respect commandements l'aide d'ange, contrant le diable, avec le proverbe approprié dessous minuscule écrit en vieil allemand. Le tableau est l'une des premières représentations de tableaux représentant la pratique du respect des dix commandements dans la vie quotidienne. Les voici (pompés Là) mais ... ne vous croyez pas obligés...
vous pouvez passer ...
· Premier commandement - Croyez - en un Dieu - comme le montre à genoux devant le Christ bénisse et deux groupes de
personnes qui commettent le péché d'idolâtrie; idole située sur la colonne et la danse autour du veau d' or. L'opposition
des deux valeurs, la foi juste et
fausse.
·
Deuxième
Commandement - Ne pas prendre
son nom en vain - le groupe
de personnes impliquées dans le processus judiciaire, où sur le banc il y a une
croix. Le processus de visible
sont deux épisodes: le juge de prendre
le témoignage et le dépôt du serment. L'orthodoxie de l'opposition et
de parjure.
· III Commandement - fête sanctifié,
dimanche saint - l'écoute
fidèle sermons et combiné avec la gourmandise,
l' ivrognerie et l'impureté
réjouissances dans l'auberge. En
écoutant les sermons étaient
fortement sous forme de piété
valorisée.
·
IV
Commandment - Honore ton père,
ta mère - une fête à la table
où les enfants utilisent la
famille et sa fille et son fils-rupture et diffamatoires vieux parents.
·
V
commandement - Tu ne tueras
pas - les pèlerins chemin où
le plus jeune d'entre eux contribue à la façon des personnes âgées et théâtre de deux
meurtres, traîtres et contre le vol
à pied. Le pèlerinage au Moyen Age ainsi que
des voyages associée au risque de
danger, de sorte que la scène montre le courage d'un
chrétien et d'aider les gens plus faibles.
·
VI
Commandment - Ne pas commettre
l' adultère - cérémonie du mariage et trois
divertissant lascivement un couple qui danse
à deux, l' un dans la poignée. L'opposition modestie, la modération et de l' honneur qui apporte les conjoints mariés la promiscuité infidélité conjugale.
·
VII
commandement - Tu ne voleras
pas - un homme avec une hache
(. Tut L' un des symboles de
l'œuvre) l' abstention de la
tentation de voler les piétons à proximité
et deux voleurs volent des articles coûteux de chambre malgré visible à travers les pénalités de symboles de
lafenêtre et mises en garde -
potence avec trois hommes pendus. La
diligence de l' opposition de
l'acquisition de biens méchants.
·
VIII
Commandment - Ne dites pas de faux témoignage - deux hommes faussement accusé jeune
femme contre vieux mari et des témoins
véridiques qui quittent la salle, qui a eu lieu la déclaration. Une référence à l'épisode biblique de
Susanna et les anciens.
IX Commandement
- Ne pas convoiter la femme de ton prochain - jeune, femme richement vêtue , debout au bord de la rivière avec jambe
nue au- dessus du genou soulève désir regardant
par la fenêtre du roi et le grand groupe d'hommes et un groupe d'anges
vagabonds qui prient.
·
X
commandement - Tu ne
convoiteras point tout ce qui appartient à ton prochain - l'héritier et la famille du défunt
en regardant ses possessions et
un groupe de personnes concentrées dans la prière pour les morts. L'opposition à respecter la volonté de
la saisie défunt de son déclin.
Et voilà ouf !
A gauche, on peut admirer le triptyque
du moins une copie !! (Oui mauvaise photo j'ai bougé...
vous pouvez mieux la voir ici)
car l’original a vécu de belles aventures :
Commandé par un banquier italien, directeur de la filiale brugeoise de la banque Médicis, destinée à l’église conventuelle de Fiesole, mais il est saisi en 1473 pendant son transport par le navire corsaire Peter Von
Danzig et offert à la Basilique Notre-Dame de Gdansk. Plus tard le triptyque
fut saisi par Napoléon et transféré à Paris au Musée du Louvre jusqu'en 1815. Pendant la Seconde
Guerre mondiale, les Allemands s’en emparent et l’exporte en Allemagne
puis à la fin de la guerre les Russes le récupèrent, il fut accroché au Musée de l'Ermitage à St Pétersbourg, et enfin restitué depuis 1956, il est conservé au Musée national de Gdansk. (ref
Wiki).
Autre curiosité – et la cerise sur le gâteau à
mon avis – c’est l’horloge astronomique :
Le
véritable joyau de l'église! Réalisée entre 1464 et 1470, elle fonctionna
jusqu'en 1553 et fut ensuite remise en état en 1993. En bas, le calendarium à deux écrans indique la date, l'heure et le
calendrier liturgique. Au milieu, le planétarium montre les phases lunaires,
les signes zodiacaux et les positions du soleil et de la lune par rapport à
ceux-ci. Au-dessus, à midi, des personnages tournent sur deux niveaux : il
s'agit des douze apôtres, des Rois Mages et de la Mort munie d'une faux pour
sonner les heures. Tout en haut, Adam et Eve font sonner les cloches.
Et toutes les explications ici pour
les curieux !
J’aurais pu vous parler encore pendant la vie des rats de toutes les belles
choses que l’on peut voir, comme la magnifique chaire,
Mais le sommet m’appelle : j’ai hâte d’admirer Gdansk du haut des 27 métres !
les deux cloches (et oui que deux et pas extraordinaires) et
pouf pouf enfin le ciel apparait là.
ET puis… voilà la vue !!
Et puis flop !
ET M..... la batterie de l’Iphone tombe en carafe juste là, en haut de ces
405 marches Grrrrr !! pas de bol tout de même !