Quelques billets: Voyages d'abord et partage d'opinions, de photos, bouquins, et les oliviers !
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vendredi 19 septembre 2014
mardi 16 septembre 2014
Calder enjambe les canaux d'Amsterdam.
Ah j'ai quitté Rotterdam pour, une fois et c'est rare, m'installer à Amsterdam pour deux petits jours.
Humm je m'égare, j'aurais juste deux heures ce soir pour me promener le long des canaux.
Oui je sais, je rate Van Gogh, Vermeer et Rembrandt pour ne citer qu"eux trois mais ce n'est que partie remise: je reviendrais avec ma grenouille pour profiter de tout ça pleinement !
Ah Amsterdam ! la Venise du nord dit-on. A part le fait qu'il ya des canaux, rien n'est plus différent que la ville Italienne, Les canaux sont trés larges les espaces verts sont nombreux, pour un peu, on se croirait à la campagne dans certains endroits !
Je vous laisse découvrir (ou re-découvrir ces charmants coins de verdures.
Voici le Rijksmuseum.
Un passage sous le batiment ouvert à tous permet de rejoindre le parc.
Celle-ci est la petite soeur de celle posée sur le parvis de la Def ! |
En passant, nous avons le plaisir de découvrir les oeuvres de Calder (dont une Stabile est à la Def)
La plaque dit en gros ceci:
Cet été, de grandes sculptures de Calder ornent les
espaces verts, les jardins du Rijksmuseum
et l'atrium. En 1930 Calder est profondément impressionné par les rectangles
rouges, jaunes, et bleus sur les murs de l'atelier du peintre néerlandais Piet
Mondrian à Paris; Comme ils seraient beaux, soupira Calder, si seulement ils
pouvaient se déplacer! peu de temps après
il fait ses premiers mobiles, constructions élégantes en fil d'acier auxquelles
des formes abstraites colorées sont attachées et s’agitent par les courants d’air.
Plus tard, il développe les « Stabiles », constructions fixes fermement
ancrées au sol. Les deux types se combinent dans les mobiles debout.
Le Rijksmuseum
présente pour la première fois un grand nombre de sculptures d’après-guerre de
Calder à l'air libre.
Cinq Vides prend son titre des ouvertures découpées dans la base de ce mobile debout. Ils diminuent sa massivité et créent des vues intéressantes, qui offrent une interaction différente de lignes de chaque point de vue. Les disques suspendus faiblement colorés contrastent fortement avec la base noire, tandis que les blancs semblent atteindre le ciel.
J'espére que la balade vous a plu !
Sur le retour, je suis passé devant ce mur qui m'a intrigué
Une nation qui donne aux tyrans, Plus que la vie et la perte des biens, alors la lumière s'éteint... |
Ce
sont en fait les dernières lignes manquantes d'un poéme gravé « Message
à la vie » sur un Monument
dans les dunes De Bloemendaal, écrit par HM Randwijk, l’un des chefs de la
résistance Néerlandaise.
à + !
vendredi 12 septembre 2014
Gianni Monti au MAMCO, Genève.
Gianni Monti au MAMCO, Genève.
L’artiste.
« GM ne fabrique pas d’objets. Ses œuvres, presque toujours
invendables, ont une durée de vie qui excède rarement la rumeur qui l’accompagne.
Difficilement transportables dans l’intérieur du collectionneur, elles ne sont pas non plus des objets de jouissance. Elles se passent de la légitimation de la
galerie, préférant emprunter les canaux de l’information médiatique, sous forme
de scoops ou de dépêches d’agence. »
L’artiste s’est approprié par le passé des catastrophes :
en 1986, il revendique aux agences de presse l’explosion de la navette
Challenger,
en 92, c’est le tremblement de terre dans le désert Californien.
Dans la même veine donc, voici « Big Crunch Clock » 1999. Une horloge
digitale comportant vingt chiffres, des milliards d’années jusqu’aux dixièmes
de secondes, compte à rebours les cinq milliards d’années qui séparent le
soleil de son explosion. On peut donc voir cette horloge comme un détonateur, que
Gianni Monti aurait déclenché s’appropriant ainsi la responsabilité de la
disparition du système solaire.
Horloge, qui, comme il ne devait pas en être autrement, fonctionne à l’énergie
solaire ;)
N'y verrait-on pas comme une transposition moderne de l'allégorie du temps qui passe, vous savez, ce tableau vieillot du sablier et du crâne, avec en prime un fruit qui pourrit: ici, c'est un compteur qui défile devant toi : que fais-tu donc du temps qui passe, que fait-tu de ta vie qui file ...
N'y verrait-on pas comme une transposition moderne de l'allégorie du temps qui passe, vous savez, ce tableau vieillot du sablier et du crâne, avec en prime un fruit qui pourrit: ici, c'est un compteur qui défile devant toi : que fais-tu donc du temps qui passe, que fait-tu de ta vie qui file ...
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