Quelques billets: Voyages d'abord et partage d'opinions, de photos, bouquins, et les oliviers !
Rechercher dans ce blog
vendredi 5 juillet 2013
jeudi 4 juillet 2013
L’Oliveraie, fin juin 2013.
Aarrg ! Le
temps nous manque : Délaissée, la page de l’oliveraie ces
derniers temps mais pas les oliviers.
Juste ce petit billet pour mémo :
Juste ce petit billet pour mémo :
Nous avons
taillé un peu plus sévèrement au printemps et nous pensons que
nous n’en avons pas fait assez : soyons optimistes :
nos petites neurones commencent à imprimer la méthode de la taille
!
Puis après
avoir nettoyé autour de chaque arbre, nous leur avons donné à
manger : un bon fumier de cheval sorti tout droit de la ferme
d’à coté J hummm !!!
Les arbres
ont fleuris depuis. Très belle floraison.
Et
défleuris: j’attends avec impatience, si les fruits seront
en bonne quantité itou… à suivre.
mardi 2 juillet 2013
Mon ventre parle grec: Φαγοποτείον !
En descendant du Lycabette, dans les rues du quartier de Kolonaki, il y a un petit restaurant, où, un (très) beau jour, passant devant par hasard, mon ventre vide me poussa à entrer.
Dés le premier pas le décor est planté: on choisit son menu à vue : à droite, les vitrines réchauffent
d'immenses plats qui se disputent la place, rivalisent de promesses
gustatives, me narguent la papille ; moussaka, petits légumes
farcis, poulet en sauce, cotelettes d'agneau, slouvaki, dolmades,
aubergines, féves et autres accompagnements mitonnés, etc.
Vite, choisissons : This.
And this...with this...no. Stop... je ne mangerais pas tout...
Plus loin, à gauche : Greek salad ? Yes ! Tzaziki ? Why not ?
Le lieu est simple et la cuisine est faite maison, il s'appelle le Fagopotion (Φαγοποτείον), alors de la bouche de Dimitris, ça
donne quelque chose comme ça:
«
farropotillonn »
ce
qui signifie quelque chose comme le «lieu pour le manger-et-boire»
Passée l'épreuve du choix,
(frustration de laisser tant de bonnes choses derriére soi), je
m'assied.
Aimable conversation avec ma
voisine de droite, une personne très urbaine, me parle dans un
français assez
particulier, celui de la Nouvelle Orléans, il s'agit de Mme
Jeanne-Michèle Charbonnet, Soprano. Wagner et son Hollandais volant
l'ont conviée à l'Opéra. Dimitris (oui,
c'est le serveur, je ne vous l'avais pas précisé), admirateur de
Madame, m'offre un petit verre de vin blanc...
Ah !
Les plats arrivent !
La suite serait délectable
mais aussi extrémement frustrante pour vous et je vous en éviterais
donc le récit.
Mais retenez cette bonne adresse:
Ah oui ! Juste une chose ! Surtout ne manquez pas les poires confites, cannelle et pignes: un bonheur !
Inscription à :
Articles (Atom)
-
LE CERVEAU SENIOR, A LA RETRAITE. IL FAUT LES MOTS CROISER. Dans ma recherche d'amélioration de mon petit cerveau (ou plutôt de conser...
-
Un vent violent souffle sur la région , Un vent à décrocher la queue d’un âne. Sur le rivage, la mer est blanche d’écume et tout mouvem...
-
Pour notre sortie mensuelle cousinale, après un excellent resto, nous somme retourné à l'hôtel de Caumont à Aix en Provence pour l'...
-
LE CERVEAU SENIOR, A LA RETRAITE. ÉCRIRE A LA MAIN J'avais lu dans un vieux Newsweek une astuce pour maintenir notre cerveau en bonne ...
-
C'est en partant en balade en Camargue que, passant devant un grand panneau " Château d'Avignon" que mon épouse s'écri...